Dans un premier temps, il faut savoir que nous sommes un projet de l’association Cheer Up qui a pour but de récolter des mèches de cheveux de 15 à 25 cm (minimum) afin de créer des perruques gratuites pour les enfants atteints du cancer. C’est aussi une belle communauté, qui s’agrandit au fil des années. Il y a 6 ans une étudiante a développé ce magnifique projet à Kedge Business School et aujourd’hui il s’étend en France à Rouen ainsi qu’à Toulouse.
D’autre part, nous organisons chaque année un Afterwork ouvert à tous, où les donneurs peuvent se faire couper gratuitement les cheveux chez un partenaire. Ensuite, tous vos dons seront transmis à nos perruquiers partenaires qui sont basés à Lyon et à Lens.
Mèches récoltées
Salons de coiffures
Bénévoles
Perruques réalisées
La réponse juste ici 🔜
Tous vos dons reviennent à des enfants atteints de cancer qui n'ont pas forcément les moyens financiers pour acheter une perruque faite de cheveux naturels.
Short Hair Don't Care fait partie de l'association étudiante Cheer Up Kedge Bordeaux, tous ensemble nous nous sommes engagés à lutter contre le cancer.
Ce projet est l'opportunité pour nous tous de redonner de l'espoir à ces enfants en leur montrant tout notre soutien par un simple geste : couper 25 cm de cheveux.
Aujourd'hui, tous nos donneurs, coiffeurs, perruquiers et étudiants qui nous ont aidé font partie de cette grande communauté qu'est Short Hair Don't Care !
Notre projet est composé de 3 pôles. Le pôle communication qui s’occupe de la gestion de tous les outils de communication du projet (site internet, boite mail, réseaux sociaux). Le pôle démarchage qui s’occupe des relations avec nos différents partenaires ainsi que de la prospection de nouveaux. Enfin, le pôle événementiel qui est chargé de la logistique et de l’organisation de tous nos événements. Nous sommes une association étudiante de Kedge Business School et nous luttons tous ensembles contre le cancer. Notre équipe se renouvelle tout les ans depuis plus de 6 ans maintenant, depuis la création du projet par Justine Roumieu.